26 juillet - Retour à Marseille

Pendant que Joel et sa famille prennent une journée de repos au camping nous partons avec la famille de Thierry pour Marseille. Nous prenons le train d'Aubagne à Marseille, c'est beaucoup plus reposant et plus rapide que de s'y rendre en auto. Nous arrivons en 15 minutes.

Arrivée par la station de train St-Charles de Marseille

Nous nous rendons au Vieux Port pour prendre le petit train touristique qui nous conduit à la Basilique Notre-Dame de la Garde juchée au sommet d'une colline et qui renferme 800 ans d'histoire. Les marseillais l'appelle "la Bonne Mère". Nous circulons le long de la route de la corniche Président J.F. Kennedy qui longe la mer. Nous aurions bien aimé nous arrêter à bien des endroits. Décidément,une journée à Marseille, ce n'est pas assez. 

Vue sur Marseille du haut de la basilique Notre-Dame de la Garde

Mona cherche la fraîcheur

Retour en ville

Nous partons ensuite à la découverte du quartier le Panier, le plus vieux quartier de Marseille qui est célèbre pour ses ruelles escarpées qui gravissent la colline et où les édifices sont ornées de magnifiques graffitis. 

Maya nous montre le chemin

Ce grafitti est au goût de Maya

Du grand art

Nous apercevons un édifice impressionnant à la structure inusitée. Il s'agit du MUCEM (Musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée). Le temps ne nous permet qu'une visite sur ses terrasses mais nous donne le goût d'y revenir pour en apprendre plus.

La terrasse du MUCEM avec sa structure de fer forgé

Mona, Maya, Thierry

 

Au loin, la Bonne Mère (Notre-Dame de la Garde)

La basilique de Marseille

Le temps passe et la faim se fait sentir. Nous nous arrêtons souper dans un petit bistrot sur le coin d'une rue. Le tartare St-Jacques est excellent et me rappelle le ceviche au Pérou. Comme spectacle nous avons droit à une engueulade à la française; un automobiliste impatient qui klaxonne sans cesse derrière une dame qui ne peut pas avancer étant bloquée par les voitures arrivant par la rue parallèle.  Les commerçants s'en mêlent et engueulent l'impatient. Et tout le monde y prend plaisir.

Nous nous rendons à la gare prendre le train de 20h et nous oublions de composter nos billets.  Cela nous vaut une petite leçon privée de compostage. L'employé au tourniquet ne comprend pas pourquoi Thierry a 2 billets pour Maya. On ne peut pas l'aider, c'est ce qui nous a été donné à Aubagne. Avec beaucoup d'humour, l'employé nous dit "je ne suis pas en tabarnake" et il en rajoute "allez-vous à Trois-Rivières ?" "Pas aujourd'hui monsieur" de répondre Mona.

Vive les voyages en train. C'est beaucoup moins stressant.