Nous aimons beaucoup le système des sanitaires avec sa petite toilette pour enfants; il y a aussi des lavabos pour faire la vaisselle et d'autres pour laver le linge.
D'un côté les douches, de l'autre les toilettes |
Le temps est chaud et ensoleillé aujourdhui. Nous en profitons pour diner dehors sous un arbre. Puis nous prenons l'autobus près du camping pour nous rendre â Bruxelles, nous évitant ainsi les tracas du stationnement.
Nous atteignons la Grand Place par une longue rue piétonnière où il y a plusieurs itinérants et bien des sacs de vidange. Les boutiques sont fermées. Le premier coup d'oeil de la ville est décevant. Heureusement la vue de la Grand Place nous réconcilie avec Bruxelles.
Nous traversons les Galeries Royales St-Hubert au décor enchanteur. Serge est hypnotisé par les boutiques de chocolcat, il voudrait tout acheter.
La cathédrale St-Michel et St-Gudule de style gothique est imposante et invite au calme et au repos. Il y a même un prête qui nous attend pour la confession. Il n'a pas de clients et lit sur son IPad. C'est en cette cathédrale que la royauté de Belgique se marie.
Par les rues nous nous rendons au Palais royal que nous ne pouvons voir que de l'extérieur.
Puis nous allons voir la petite statue de Manneken Piss, ce petit bonhomme qui fait pipi depuis des temps reculés. C'est un souvenir cher au coeur des habitants de Bruxelles. Il y a foule pour le prendre en photo. Nous avons préféré celui en cholocat.
Prochaine visite, aller voir la statue de Jacques Brel, ce célèbre chanteur qui a vu le jour à Bruxelles. Nous aurions cru que l'emplacement serait plus décoré, mais ils ont fait honneur à sa célèbre dentition.
Nous reprenons l'autobus de 18h40 pour revenir au camping. Hugues nous prépare un souper BBQ, saucisses, pommes de terre rôties accompagnées d'une salade de tomates et avocats. La soirée est agréable.
Nous atteignons la Grand Place par une longue rue piétonnière où il y a plusieurs itinérants et bien des sacs de vidange. Les boutiques sont fermées. Le premier coup d'oeil de la ville est décevant. Heureusement la vue de la Grand Place nous réconcilie avec Bruxelles.
La Grand Place |
Nous traversons les Galeries Royales St-Hubert au décor enchanteur. Serge est hypnotisé par les boutiques de chocolcat, il voudrait tout acheter.
Les galeries royales St-Hubert |
Jolie boutique de chocolat |
Une autre sous le thème des Schtroumpfs |
Cathédrale des Saints Michel et Gudule |
Par les rues nous nous rendons au Palais royal que nous ne pouvons voir que de l'extérieur.
Le Palais Royal |
Manneken-Pis |
Jacques Brel et son admirateur Hugues |
Tintin et capitaine Haddock |
Lundi matin, nous prenons à nouveau le bus 232 pour nous rendre à Bruxelles. Le chauffeur nous dit que si nous sommes un groupe de 5 personnes, nous payons 1,20 euros au lieu de 3 euros, donc nous recrutons une dame allemande pour compléter notre groupe.
Le temps est à l'orage aujourd'hui. Nous arrivons au musée de la bande dessinée sous la pluie. Nous passons deux heures dans le monde des célèbres bédéistes Hergé, Peyo, Franquin, Roda, Pef et Catel et bien d'autres dont les noms ne sont pas connus. Depuis toujours, l'homme se raconte en images sur tous les supports possibles. Traversant les siècles, les récits que ces artistes mettent en scène témoignent de la société dans laquelle ils furent créés. Nous retrouvons les héros de notre enfance. Quel plaisir nous avons eu!
À Bruxelles, il faut manger moules et frites, même si ç'est cliché, comme a dit la jeune fille au bureau d'information. Ce fut moules marinières, moules au vin blanc et moules à la crème; pour Serge ce fut rognons à la crème, ceux qui le connaissent ne seront pas surpris.
5 minutes de soleil, 5 minutes de pluie pendant les 30 minutes que ça nous prend pour nous rendre au Parlementarium . Le tout se termine par une pluie diluvienne qui nous mouille jusqu'aux os.
L'épreuve en valait la peine. Il a fallu que le personnel nous mette à la porte à l'heure de la fermeture. Dans la reconstitution des événements depuis la fin de la Première Guerre, qui ont conduit à la création de l'Union Européenne et de l'ONU, nous étions rendus à 1985. Ça nous aurait pris 2 heures de plus pour terminer notre visite.
A notre sortie, le beau temps est revenu et le vent termine de sécher nos vêtements. C'est en attendant le bus de 18h53, qui n'est jamais venu, que j'écris cet article. Notre dernier espoir, celui de 20h02.
Cette fois-ci le chauffeur nous dit que le tarif de groupe est pour 10 personnes. Nous devons donc payer le plein prix malgré les objections véhémentes de Serge.
Le temps est à l'orage aujourd'hui. Nous arrivons au musée de la bande dessinée sous la pluie. Nous passons deux heures dans le monde des célèbres bédéistes Hergé, Peyo, Franquin, Roda, Pef et Catel et bien d'autres dont les noms ne sont pas connus. Depuis toujours, l'homme se raconte en images sur tous les supports possibles. Traversant les siècles, les récits que ces artistes mettent en scène témoignent de la société dans laquelle ils furent créés. Nous retrouvons les héros de notre enfance. Quel plaisir nous avons eu!
Le Musée de la Bande Dessinée |
Peyo, le créateur des Schtroumfs |
Hugues connaît bien le journal qui publiait ces BD |
J'aurait bien aimé l'acheter, 45 euros en dollars canadiens, trop cher |
Serge se prend pour un schtroumpf |
Différents visages de Tintin |
À Bruxelles, il faut manger moules et frites, même si ç'est cliché, comme a dit la jeune fille au bureau d'information. Ce fut moules marinières, moules au vin blanc et moules à la crème; pour Serge ce fut rognons à la crème, ceux qui le connaissent ne seront pas surpris.
5 minutes de soleil, 5 minutes de pluie pendant les 30 minutes que ça nous prend pour nous rendre au Parlementarium . Le tout se termine par une pluie diluvienne qui nous mouille jusqu'aux os.
L'épreuve en valait la peine. Il a fallu que le personnel nous mette à la porte à l'heure de la fermeture. Dans la reconstitution des événements depuis la fin de la Première Guerre, qui ont conduit à la création de l'Union Européenne et de l'ONU, nous étions rendus à 1985. Ça nous aurait pris 2 heures de plus pour terminer notre visite.
A notre sortie, le beau temps est revenu et le vent termine de sécher nos vêtements. C'est en attendant le bus de 18h53, qui n'est jamais venu, que j'écris cet article. Notre dernier espoir, celui de 20h02.
Cette fois-ci le chauffeur nous dit que le tarif de groupe est pour 10 personnes. Nous devons donc payer le plein prix malgré les objections véhémentes de Serge.
belle visite que le musée de la BD. ta soeur
RépondreSupprimerNous aurions adoré cette visite du musée de la BD! Moules et frites, miam...rognons, beurk!
RépondreSupprimerMoi qui voulais vous cuisiner des rognons lors de votre prochaine visite.
RépondreSupprimerVous avez raté le tapis de fleurs sur la grand-place de Bruxelles. Zut.
RépondreSupprimerEt le Manneken Pis. Que c'est décevant...